Pour préciser, CorpCode, je pensais surtout aux entreprises de moins de 10 personnes, typiquement dans le bâtiment ou la restauration. Des activités où la sécurité est importante, mais où on n'a pas forcément de service RH dédié.
Bonsoir tout le monde,
Je me demandais quelles sont vos astuces pour la nuit quand les petits sont malades. Fièvre, toux, cauchemars... Comment faites-vous pour les soulager et, soyons honnêtes, survivre jusqu'au matin ?
Des conseils sur les médicaments, les positions pour dormir, l'alimentation ou juste comment rester calme seraient top !
Complètement d'accord avec ce que tu dis Mariposa, c'est tellement important de ne pas brusquer les choses. Je pense aussi que de se faire accompagner par un professionnel (psychologue spécialisé dans le deuil périnatal, sophrologue...) peut vraiment aider à débloquer certaines émotions et à mettre en place des outils pour mieux vivre cette période. C'est pas une honte, au contraire, c'est une preuve de courage de demander de l'aide. 💪
Et pour les groupes de parole, c'est vrai que ça peut être super bénéfique. Parfois, juste entendre que d'autres personnes ont vécu la même chose, ça soulage énormément. 🤗
En parlant d'habitudes tenaces, je me demande si ça ne vient pas aussi de la société en général, non ? Genre, on a tellement intégré que c'est "normal" que les mères s'occupent plus des enfants que, même sans le vouloir, on reproduit ce schéma dans les crèches et les écoles.
L'écoute active, c'est clair que c'est la base. ArtisteVoyage75 a raison de le souligner. Valider les émotions, c'est pas juste dire "ok,ok", c'est vraiment montrer qu'on comprend ce que l'enfant ressent, même si nous, adultes, on trouve ça disproportionné. Genre, si un enfant a peur du noir après avoir entendu un bruit fort, c'est pas le moment de lui dire "maisnon,iln'yarien". C'est le moment de lui dire "Jecomprendsquetuaiespeur,c'estnormald'avoirpeuraprèsunbruitcommeça".
Ce qui est dit dans les données est super important, surtout l'histoire des signes de perturbation. Faut vraiment être attentif aux changements de comportement, même ceux qui semblent anodins. Un enfant qui se met à sucer son pouce alors qu'il ne le faisait plus, qui a des troubles du sommeil (cauchemars, difficultés à s'endormir), ou qui se plaint de maux de ventre sans raison apparente, ça peut être des signaux d'alerte. Les données parlent de 80% de sensibilité émotionnelle, mais faut que ce soit une sensibilité *active*, une observation fine du comportement de l'enfant.
L'idée de ne pas forcer l'enfant à parler, c'est aussi essentiel. On peut lui proposer, lui dire qu'on est là pour l'écouter s'il en a besoin, mais sans insister. Parfois, le dessin, le jeu, ou même le simple fait d'être présent à côté de lui peut l'aider à exprimer des choses qu'il n'arriverait pas à dire avec des mots. Et surtout, éviter de l'exposer à des images violentes ou des récits traumatisants (genre les infos en boucle à la télé). Les données soulignent qu'il faut agir sur les mesures de sécurité, c'est que l'enfant se sente protéger et qu'il le soit vraiment.
Et je suis d'accord à 100% avec la nécessité de consulter un spécialiste si le trauma est important. Un pédopsychiatre ou un psychologue spécialisé, c'est pas un luxe, c'est un investissement pour l'avenir de l'enfant. Ils ont les outils et les compétences pour l'aider à surmonter ce qu'il a vécu et à éviter que ça n'ait des conséquences négatives à long terme.
L'écoute, la patience, et l'observation : c'est vraiment le trio gagnant dans ces situations.