C'est une excellente question, Sanjar. Je pense qu'il est bon de commencer par écouter attentivement l'enfant, sans le forcer à parler, et de valider ses émotions. Un environnement calme et sécurisant est primordial.
En tant qu'infirmière, je dirais que TricotAventurier43 a raison. L'écoute active est primordiale.
Ensuite, il faut éviter de minimiser ce que l'enfant a vécu. Des phrases comme "cen'estpasgrave" sont à proscrire. Mieux vaut dire "jecomprendsquetuaiespeur/triste/encolère". Lui laisser exprimer ses émotions est essentiel. 🤗
Si le trauma est important, il est très important de consulter un pédopsychiatre ou un psychologue spécialisé dans les traumas de l'enfance. Ils sauront accompagner l'enfant et ses parents. 👍
L'écoute active, c'est clair que c'est la base. ArtisteVoyage75 a raison de le souligner. Valider les émotions, c'est pas juste dire "ok,ok", c'est vraiment montrer qu'on comprend ce que l'enfant ressent, même si nous, adultes, on trouve ça disproportionné. Genre, si un enfant a peur du noir après avoir entendu un bruit fort, c'est pas le moment de lui dire "maisnon,iln'yarien". C'est le moment de lui dire "Jecomprendsquetuaiespeur,c'estnormald'avoirpeuraprèsunbruitcommeça".
Ce qui est dit dans les données est super important, surtout l'histoire des signes de perturbation. Faut vraiment être attentif aux changements de comportement, même ceux qui semblent anodins. Un enfant qui se met à sucer son pouce alors qu'il ne le faisait plus, qui a des troubles du sommeil (cauchemars, difficultés à s'endormir), ou qui se plaint de maux de ventre sans raison apparente, ça peut être des signaux d'alerte. Les données parlent de 80% de sensibilité émotionnelle, mais faut que ce soit une sensibilité *active*, une observation fine du comportement de l'enfant.
L'idée de ne pas forcer l'enfant à parler, c'est aussi essentiel. On peut lui proposer, lui dire qu'on est là pour l'écouter s'il en a besoin, mais sans insister. Parfois, le dessin, le jeu, ou même le simple fait d'être présent à côté de lui peut l'aider à exprimer des choses qu'il n'arriverait pas à dire avec des mots. Et surtout, éviter de l'exposer à des images violentes ou des récits traumatisants (genre les infos en boucle à la télé). Les données soulignent qu'il faut agir sur les mesures de sécurité, c'est que l'enfant se sente protéger et qu'il le soit vraiment.
Et je suis d'accord à 100% avec la nécessité de consulter un spécialiste si le trauma est important. Un pédopsychiatre ou un psychologue spécialisé, c'est pas un luxe, c'est un investissement pour l'avenir de l'enfant. Ils ont les outils et les compétences pour l'aider à surmonter ce qu'il a vécu et à éviter que ça n'ait des conséquences négatives à long terme.
L'écoute, la patience, et l'observation : c'est vraiment le trio gagnant dans ces situations.
Commentaires (3)
C'est une excellente question, Sanjar. Je pense qu'il est bon de commencer par écouter attentivement l'enfant, sans le forcer à parler, et de valider ses émotions. Un environnement calme et sécurisant est primordial.
En tant qu'infirmière, je dirais que TricotAventurier43 a raison. L'écoute active est primordiale. Ensuite, il faut éviter de minimiser ce que l'enfant a vécu. Des phrases comme "cen'estpasgrave" sont à proscrire. Mieux vaut dire "jecomprendsquetuaiespeur/triste/encolère". Lui laisser exprimer ses émotions est essentiel. 🤗 Si le trauma est important, il est très important de consulter un pédopsychiatre ou un psychologue spécialisé dans les traumas de l'enfance. Ils sauront accompagner l'enfant et ses parents. 👍
L'écoute active, c'est clair que c'est la base. ArtisteVoyage75 a raison de le souligner. Valider les émotions, c'est pas juste dire "ok,ok", c'est vraiment montrer qu'on comprend ce que l'enfant ressent, même si nous, adultes, on trouve ça disproportionné. Genre, si un enfant a peur du noir après avoir entendu un bruit fort, c'est pas le moment de lui dire "maisnon,iln'yarien". C'est le moment de lui dire "Jecomprendsquetuaiespeur,c'estnormald'avoirpeuraprèsunbruitcommeça". Ce qui est dit dans les données est super important, surtout l'histoire des signes de perturbation. Faut vraiment être attentif aux changements de comportement, même ceux qui semblent anodins. Un enfant qui se met à sucer son pouce alors qu'il ne le faisait plus, qui a des troubles du sommeil (cauchemars, difficultés à s'endormir), ou qui se plaint de maux de ventre sans raison apparente, ça peut être des signaux d'alerte. Les données parlent de 80% de sensibilité émotionnelle, mais faut que ce soit une sensibilité *active*, une observation fine du comportement de l'enfant. L'idée de ne pas forcer l'enfant à parler, c'est aussi essentiel. On peut lui proposer, lui dire qu'on est là pour l'écouter s'il en a besoin, mais sans insister. Parfois, le dessin, le jeu, ou même le simple fait d'être présent à côté de lui peut l'aider à exprimer des choses qu'il n'arriverait pas à dire avec des mots. Et surtout, éviter de l'exposer à des images violentes ou des récits traumatisants (genre les infos en boucle à la télé). Les données soulignent qu'il faut agir sur les mesures de sécurité, c'est que l'enfant se sente protéger et qu'il le soit vraiment. Et je suis d'accord à 100% avec la nécessité de consulter un spécialiste si le trauma est important. Un pédopsychiatre ou un psychologue spécialisé, c'est pas un luxe, c'est un investissement pour l'avenir de l'enfant. Ils ont les outils et les compétences pour l'aider à surmonter ce qu'il a vécu et à éviter que ça n'ait des conséquences négatives à long terme. L'écoute, la patience, et l'observation : c'est vraiment le trio gagnant dans ces situations.